Ils ont fait l'IHEAL

 

Ils ont fait l'IHEAL...

 

Ils sont passés par l'IHEAL et maintenant nous les retrouvons chargés de mission, cadres supérieurs ou chercheurs dans plusieurs organismes en France et à l'international...

...Voici leurs parcours :

Gustavo Segura

Ancien élève de l’Institut des Hautes Études de l'Amérique Latine de la Sorbonne Nouvelle, Gustavo Segura travaille actuellement pour l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a obtenu une licence bi-disciplinaire en communication et science politique à l’Université Lumière Lyon 2 et par la suite, dans le cadre d’une année d’échange, il a réalisé son M1 en science politique à l’Université Fédérale du Pernambouc au Brésil. Après son M2 Professionnel Études latino-américaines (Parcours : Métiers de la coopération et du développement) à l’IHEAL obtenu en 2016-2017 et un stage en communication au sein du Bureau Régional de l’OIM pour l’Amérique centrale, l’Amérique du Nord et les Caraïbes au Costa Rica, il a été embauché par la même organisation en tant que consultant international pour divers projets. Il a pu participer à des projets régionaux multidisciplinaires dès leur conception à leur réalisation. Depuis 2018 il a pu travailler spécifiquement sur le sujet de la « gouvernance des migrations » en effectuant des projets de recherche en Amérique centrale et les Caraïbes. D’ailleurs il a pu participer en tant que collaborateur dans l’étude intitulée Migration Governance in the Caribbean : Report on the Island States of the Commonwealth CaribbeanAujourd’hui, il continue à grandir professionnellement au sein de l’organisme des Nations Unies, en tant que chargé des migrations avec l’objectif de continuer dans le monde de la coopération internationale et d’intégrer le système des Nations Unies.

Son conseil aux étudiant.e.s : « Diversifiez vos expériences professionnelles, à travers de volontariats, de stages ou de vie associative, car cela va vous aider à disposer d’un dossier plus solide lors de la recherche d’un stage professionnel voire d’un poste de travail. Le bagage d’expériences que vous pouvez cumuler lors de vos cursus va permettre d’attirer davantage l’attention des recruteurs. N’hésitez pas à postuler à des stages ou des postes même s’ils sont d’une durée déterminée car les organisations valorisent de plus en plus les expériences professionnelles des candidats ». 

 

Diego Ramírez de Arellano Chamas

Étudiant à l'IHEAL en 2017-2018, Diego poursuit le M2 professionnel en études européennes et latino-américaines, parcours développement et coopération après avoir fait un M1 en relations internationales à l’Université Jean Moulin Lyon 3. Diego a également travaillé comme enseignant d'histoire au Chili où il a fait sa licence d’histoire et de science politique.
Afin de valider son diplôme de Master à l'IHEAL, Diego a été sélectionné par le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies dans son bureau de liaison à Paris pour y réaliser un stage. Il a travaillé en tant qu'assistant de communication (sous supervision de la directrice du PAM pour la France et Monaco) où il aidait à la communication stratégique afin de pouvoir lever des fonds pour les opérations humanitaires du programme.
Après son stage, le bureau du PAM en Bolivie lui a proposé de devenir chargé de partenariats pour l'année 2019, afin d'établir des partenariats stratégiques et de pouvoir lever des fonds pour les opérations dans ce pays.

 

Sofia DAGNA

« Au sein de l'IHEAL j'ai réalisé les Master 1 et 2, parcours anthropologie. L'IHEAL m'a permis de faire un stage comme assistante de recherche au Brésil pendant l'été 2013 entre le M1 et le M2, ce qui m'a poussé à entreprendre la voie de la recherche. Ensuite, dans le cadre d'un échange au Brésil, j'ai réalisé un terrain de recherche concernant la migration des populations autochtones dans l’Amazonie brésilienne. Au cours du premier semestre de M2 j'ai participé, en tant qu'assistante de recherche dans un projet en France, ce qui m'a permis me familiariser avec la méthodologie d'enquête sociologique et anthropologique.  Pendant les années à l'IHEAL j'ai développé mes intérêts pour les populations autochtones, avec un focus particulier sur les relations femme/homme. Suite à cette expérience universitaire, j'ai entrepris un stage au sein du FORIM en tant que chargée d'une enquête sur l'insertion socio-professionnelle des jeunes migrant.e.s et issu.e.s de la migration en France et en tant que chargée de projets de co-développement. Ensuite, en 2015 j'ai intégré l'équipe de l'ONG CARE France, d'abord en stage et après en tant que salariée, en passant par un CDD et enfin par un CDI. Depuis deux ans je suis chargée des projets de développement en Amérique latine et Caraïbes, notamment axés sur les droits des femmes et les droits humains. En plus, je suis co-responsable de la thématique genre au niveau programmatique et au sein de l'association.  Le développement accru de mes compétences et connaissances, aussi bien que le travail en équipe me motivent pour continuer sur cette voie. »

Son conseil aux étudiant.e.s :  « Chercher à réaliser des stages pendant les pauses et profiter de tous les contacts que vous allez rencontrer, qui seront utiles pour votre futur pro. Il est important de valoriser ses expériences dans le CV pour savoir les "vendre" et atteindre vos objectifs. »

 

Agathe BALADO a étudié les affaires européennes à l’IEE (Paris 3) avant de s’intéresser à l’Amérique latine et notamment aux relations entre l’Europe et Cuba. Spécialisée en science politique, elle s’est appuyée sur une formation pluridisciplinaire avec des points forts en langue et en capacités rédactionnelles pour ouvrir ses choix de stage puis d’insertion professionnelle. Elle a d’abord choisi de s’orienter vers la communication puis le conseil en recrutement. Elle aide des clients tels que le CNES, les Ministères et des entreprises à recruter les meilleurs candidats. Par ailleurs, elle « chasse » des profils de jeunes diplômés pour tous types d’entreprises, d’organismes et d’institutions.

Son conseil aux étudiant.e.s : « Il est primordial de bâtir, développer, enrichir et diversifier votre réseau professionnel car il constitue, à l'ère du numérique, le meilleur canal de recrutement pour votre insertion professionnelle et votre future carrière. Vous devez être présent(e)s sur les réseaux sociaux (en veillant à séparer votre vie privée de votre vie profesionnelle) sur les forums/salons de l'emploi mais également les jobboards comme Monster qui vous permettront d'être visibles vis-à-vis des employeurs et des recruteurs. »

 

Après deux années de classe préparatoire « Lettres et Sciences sociales », Kim AUMONIER a obtenu une double licence d’économie et de science politique à Paris I avant de choisir une spécialisation Amérique latine à l’IHEAL. Dès le début de ses études, elle s’est intéressée à la question des droits humains. Ses travaux de recherche de Master se sont inscrits dans cette thématique puisqu’elle a travaillé sur les enjeux de justice transitionnelle en Amérique latine. Après six mois d’échange universitaire au Brésil, et six mois de stage au Musée de la Mémoire du conflit armé colombien à Medellin – où elle était assistante de recherche et chargée de projets –, elle s’est engagée dans le Collectif Guatemala comme accompagnatrice internationale de défenseurs des droits humains en danger sur le terrain. Grâce à ses acquis théoriques, à sa connaissance du terrain et à ses engagements associatifs et militants (GENEPI, Croix-Rouge française, Collectif Guatemala), Kim a décroché un poste de coordinatrice de projets dans deux associations : le Collectif Guatemala et les Brigades de Paix Internationales. Elle est aujourd’hui responsable de l’organisation d’activités de sensibilisation du public, de plaidoyer et de recherche de fonds pour les projets terrain de ces deux associations de solidarité internationale et défense des droits humains. Elle s’intéresse aujourd’hui aux thématiques suivante : justice post-conflits, droit des peuples autochtones, entreprises et droits humains.

Son conseil aux étudiants : La période de recherche d’emploi n’est pas toujours facile à vivre mais permet de se poser les bonnes questions sur ses envies, ses motivations, ses compétences et sa « valeur ajoutée ». Prenez le temps de bien comprendre comment s’organise le domaine qui vous intéresse pour vous adresser aux bonnes personnes. N’ayez pas peur de développer votre réseau en sollicitant des rendez-vous auprès de personnes à différents postes et niveaux hiérarchiques, beaucoup seront prêtes à vous accorder un peu de leur temps. Multipliez vos expériences extra-universitaires et de stage, elles vous permettront à la fois d’acquérir des compétences variées et d’être connu(e) et reconnu(e) dans les milieux qui vous intéressent. Et pour celles et ceux qui veulent continuer à travailler sur/avec l’Amérique latine, sachez que la formation de l’IHEAL est vraiment reconnue.

 

Paul MARCILLE s’est spécialisé sur les questions économiques ayant trait au Brésil. Après un  M2 Affaires économiques internationales à l’IHEAL, il a effectué un volontariat international au sein du consulat de France à Rio de Janeiro, où il a pu exercer plusieurs postes ayant trait à la coopération culturelle et universitaire France-Brésil. De retour en France après trois années passées au Brésil, il est embauché comme chargé de coopération internationale par l’Université Paris Diderot et  recruté par la communauté d’établissements et d’universités Sorbonne Paris Cité dans laquelle il exerce les fonctions de coordinateur de l’antenne Brésil, mettant ainsi à profit sa connaissance du pays et son réseau professionnel.
« Mon conseil aux étudiants et jeunes diplômés : ne pas craindre d’avoir un parcours atypique, la transversalité est à mes yeux une qualité pour les recruteurs. »

 

Vanessa FINES a très tôt choisi de se spécialiser sur les questions politiques internationales. Elle est d’abord étudié à l’IEP de Toulouse avant de rejoindre le master 2 pro de l’IHEAL « métiers de la coopération ». En double cursus dans les deux établissements, elle a donc obtenu un double master en coopération internationale et économie du développement. En parallèle, Vanessa a multiplié les expériences dans des organismes tournés vers l’international : d’abord au CEBRI (Centre Brésilien de Relations Internationales), puis à l’IdA (Institut des Amériques) afin d’obtenir un stage, puis un emploi à l’OCDE. Aujourd’hui, Vanessa espère intégrer le Quai d’Orsay afin de poursuivre sa trajectoire de coopérante à l’international.
« Mon conseil en matière d’insertion professionnelle serait de prendre le temps de penser ses études comme la première étape d’un projet professionnel à venir, et d’identifier sa valeur ajoutée personnelle afin de se positionner au mieux dans le monde du travail. Et de persévérer ! »

 

Patricia GUTIÉRREZ a une trajectoire atypique parmi les alumni del’IHEAL. Après une première carrière d’économiste spécialiste en gestion de projets sociaux en Colombie, Patricia a rejoint la France où elle a repris des études de coopération internationale dans le M1 puis le M2pro de l’IHEAL. Elle s’est, pour le stage de fin d’études, spécialisée dans un domaine relativement moins connu de ce secteur : le fundraising, à Action contre la Faim. Grâce à son expérience et son charisme, elle a décroché un emploi comme chargée de relations donateurs à la Fondation ARC pour la Recherche sur le Cancer, et elle y est aujourd’hui responsable adjointe du service donateurs.
« Mon conseil aux étudiants actuels de l’Iheal serait de ne pas s’auto censurer lors de la recherche de stage ou d’emploi et de postuler (évidemment avec CV+Lettre de motivation particularisés) même si leur profil ne correspond pas 100% au poste. Vous ne connaissez pas exactement les besoins de l’entreprise ni les qualités de vos concurrents et choisir reste le travail du recruteur. »

 

Yasmina LAKMAD : Après une double licence de droit et de science politique et un séjour d’études au Chili, Yasmina a également effectué deux master, l’un à l’IHEAL et l’autre à Paris 13 (en coopération internationale). Elle a d’abord œuvré au développement de projets socio-culturels au Maroc avant de rejoindre l’ADECRI (Agence pour le développement et la coordination des relations internationales) pour travailler sur le programme EUROsociAL II (projet de la Commission européenne favorisant la cohésion sociale en Amérique latine). Aujourd'hui chargée de projets au sein de l'opérateur Expertise France, elle développe des projets de protection sociale en Amérique latine, au Maghreb et en Europe de l'Est.
« Mon conseil aux étudiants et jeunes diplômés : ne pas avoir peur d’une trajectoire non linéaire et surtout se donner les moyens de ses ambitions »

 

Pierre LEBRET : Au sein de l’IHEAL, j’ai réalisé mon Master 1 parcours Sciences Politiques, ainsi que le Master 2 Professionnel Métiers de la Coopération. Ce parcours fut totalement adéquate aux missions futures que j’ai du assumer. Après avoir réalisé un volontariat international au sein de l’organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) en 2011,  j’ai intégré la CEPAL (Commission Economique pour l’Amérique Latine et les Caraïbes) en tant que consultant pour la coopération internationale. Pendant trois ans, j´ai été chargé au sein de cet organisme international, de l´analyse du rôle de la coopération internationale dans la région latino-américaine. Ce poste m´a permis d´écrire deux ouvrages sur la coopération européenne en Amérique Latine, de voyager dans le continent sud-américain à la rencontre de nombreuses autorités, mais aussi de côtoyer la réalité d´un continent dont les pays n'ont en commun que la langue - mis à part le Brésil -, et de se confronter aux contrastes divers et aux inégalités multiples. Au même moment, j´ai intégré une petite entreprise de conseil agricole en tant que directeur exécutif. J'étais chargé de la mise en place de projets dans la région chilienne de l´Araucania pour le développement de la petite agriculture (création de coopérative, conseil pour l´augmentation de la productivité agricole). Parallèlement je me suis engagé dans la campagne électorale présidentielle auprès de l´actuel chef d´état du Chili, Michelle Bachelet. Depuis juin dernier, j´ai renoncé à mon poste des Nations Unies, ainsi qu'à mes responsabilités dans le secteur privé pour intégrer le gouvernement chilien au sein du Ministère des Affaires Etrangères, comme chef de l´Unité Politique de l´Agence de Coopération Internationale du Chili. voir portrait complet sur site de Paris 3

César MANRIQUE MILLA : C'est grâce à son double profil que César Manrique occupe aujourd'hui le poste de chargé de relations internationales à l'Académie des Sciences - Institut de France. En parallèle de son cursus de sciences sociales à l'Université de Lyon 2, César a effectué, pendant sa scolarité, plusieurs stages auprès de scientifiques. Passionné par les rapports "science - société", il s'est spécialisé, lors de son master 2 pro à l'IHEAL en gestion de l'environnement. C'est ce profil à la fois généraliste de coopération internationale et spécialisé sur les questions de recherche scientifique qui lui ont permis de décrocher cet emploi.
« Mon conseil : multipliez et valorisez dans vos CV ainsi que dans vos recherches de stage(s) les expériences bénévoles, associatives et de travail que vous aurez pu cumuler pendant votre cursus. Ces expériences, en plus d'enrichissantes, constituent un vivier de contacts qui vous aidera dans vos projets futurs. »

 

Agnès MICHEL : J'ai été consultante bancaire pendant 13 ans, dans le cadre de la mise en place de la réglementation internationale des risques (connue comme Bâle II). J'ai ensuite cherché à changer de voie, car bosser pour ce secteur me posait de plus en plus de problèmes de conscience, puis le métier de conseil aux directions m'intéressait moins. Je me suis reconvertie dans l'expertise au service des comités d'entreprise (on fait de l'audit pour les salariés, afin qu'ils aient leur propre vision de la situation économique, sociales...de l'entreprise, on intervient aussi dans le cadre de plans sociaux...). Je donne également quelques heures de cours dans un master de développement durable. J'ai aussi écrit 2 ouvrages : l'un sur la décentralisation ("La démocratie près de chez vous", aux éditions "Les petits matins") et l'autre sur les impôts ("Petit manuel à l'usage de ceux qui paient des impôts et aimeraient bien savoir pourquoi" aux éditions de la "Rue de l'échiquier"). A côté de ça je milite depuis quelques années chez EELV, et participe à des travaux dans le think tank Terra Nova, notamment sur la fiscalité écologique. - [Pourquoi avoir choisi d'étudier à l'IHEAL ?] : Après des études d'histoire, notamment réalisées en Espagne, via Erasmus, je cherchais une formation internationale, orientée l'économie et l'Amérique Latine. L'IHEAL correspondait totalement à mes attentes. De plus c'était l'un des rares institut à s'ouvrir aux étudiants ayant réalisé la première partie de leurs études en sciences sociales (hors économie). - [Quels savoirs appris à l'IHEAL mobilisez-vous dans votre pratique professionnelle ?] : J'utilise toujours la méthodologie apprise dans le cadre des cours liés à l'analyse du risque pays, et de façon plus générale sur tout ce qui permet d'enrichir une analyse financière. J'ai beaucoup appris grâce à la pluri-disciplinarité des cours, qui me semble être la grande richesse de l'IHEAL. Il m'est difficile d'être plus précise...cela fait presque 16 ans que j'ai obtenu mon diplôme ! - [Quel regard portez-vous sur votre métier aujourd'hui ?] : Je suis épanouie au travail ce qui est assez rare pour être signalé. Après une dizaine d'années de vie professionnelle, j'ai eu la chance de pouvoir enfin choisir ce que j'avais envie de faire. Et je changerai peut-être à nouveau dans une quinzaine d'années. J'apprécie tout particulièrement que mon métier actuel me permette d'avoir une vraie vision de ce qu'il se passe dans l'entreprise, tant sur les changements de business models (avec ce qu'on appelle l'ubérisation de l'économie, mais aussi le recours à des centres de services auxquels les entreprises sous-traitent de nombreuses tâches), les conséquences sociales de ces changements. mais j'apprécie par dessus tout le fait d'être en situation de proposer des solutions alternatives, d'être au service des gens, et d'essayer d'améliorer le dialogue social. Je sais que cela semble un peu niais, mais c'est pourtant vrai ! « Mon conseil : Vous êtes une génération dont l'avenir n'est pas du tout tracé. Ce peut être angoissant, mais c'est aussi une chance, d'autant qu'avec un bac+5, vous n'êtes pas les plus exposés à la précarité. Donc n'ayez pas peur de vous faire plaisir dans vos choix professionnels quitte à multiplier les expériences, je pense que c'est un arbitrage qui vous sera beaucoup utile à terme que les choix de raison.»

Patrice PAUC : Je suis directeur de l’Alliance française de Porto Alegre au Brésil et responsable de la coopération française dans le Rio Grande Do Sul. Après une maîtrise de science politique suivie dans le cadre d’un échange Erasmus à l’université Granada en Espagne, j’ai continué mon cursus à l’IHEAL par un DEA Etudes des Sociétés Latino-Américaines, complété par un DESS Echange Europe-Amérique Latine en 1996. Quelques années plus tard, j’ai complété mon cursus par un master en Français Langue Etrangère à l’université de Grenoble. voir portrait complet sur site de Paris 3

 

Mélanie POULAIN s’est spécialisée en économie du développement après une formation préalable en LEA. Après son M2 à l’IHEAL et un stage en communication chez Artisans du Monde (en Bolivie), elle choisit de s’orienter davantage sur les questions agricoles et effectue un second master à l’IEDES (Paris 1). Elle se balade un temps en Amérique latine, où elle travaille à AVSF (Agriculteurs et vétérinaires sans frontières) en Equateur, puis à CARE au Pérou, où on la charge de monter entièrement le service « commerce équitable ». Rentrée en France, elle entre à ATTAC, où elle est recrutée pour son profil de militante engagée en plus de ses capacités techniques, en tant que chargée de communication.
« Mon conseil aux étudiants et jeunes diplômés : croire en ses rêves, ne pas s’auto-censurer, postuler aux postes qui vous intéressent même si votre profil ne correspond pas entièrement.»

 

Si vous aussi vous souhaitez témoigner de votre parcours universitaire et professionnel,

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